Pantalon de travail à taille haute: Trojan promet d’éliminer le « sourire du plombier » sur les chantiers

Problème répandu sur les chantiers

Le phénomène fréquemment évoqué sur les lieux de travail concerne l’exposition involontaire de la peau lorsque l’on se penche ou que l’on bouge. L’expression « sourire du plombier » est largement associée à des métiers tels que les maçons, les plâtriers, les électriciens et les peintres.

Une solution vestimentaire novatrice

La marque britannique Trojan a conçu une ligne de vêtements de travail destinée à rester en place lors des mouvements, des flexions et des efforts physiques. Le pantalon à taille haute avec ceinture élastique est pensé pour éviter toute exposition de peau.

« Notre nouvelle gamme vise à mettre fin au redouté « sourire du plombier », quel que soit le degré de flexion, d’étirement ou d’effort nécessaire », affirme James Posnett, responsable produit chez Trojan.

Le produit phare et son prix

Le pantalon est la pièce centrale de la collection et est proposé à l’équivalent d’environ 34 francs. À ce stade, il n’est pas possible de le commander en Suisse.

Accueil des professionnels et premiers avis

En ligne, les retours des artisans sont très positifs. Un ouvrier décrit la ceinture élastiquée du pantalon cargo comme « révolutionnaire », tandis qu’un autre lui attribue cinq étoiles pour sa coupe et son élasticité. Les commentaires évoquent notamment une qualité élevée, de nombreuses poches et une matière stretch qui ne glisse pas lors des mouvements, tout en restant légère et chaude.

Du côté des utilisatrices, l’adhésion est aussi notable: « C’est mon pantalon préféré pour travailler. La matière stretch offre une liberté de mouvement sans serrer et s’adapte à une silhouette plus féminine », témoigne l’une d’elles.

Remarques liées au corps: une enquête du fabricant

Selon une enquête menée par le fabricant, plus d’un tiers des ouvriers ont déjà reçu des remarques sur leurs fesses, et deux tiers déclarent avoir déjà vu un « sourire de plombier ». Les métiers les plus concernés sont les maçons (42 %), suivis par les plombiers, les poseurs de sols, les couvreurs et les monteurs d’échafaudages.